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Dôme - Stephen King

 

Quatrième de couverture

Le Dôme : personne n’y entre, personne n’en sort. A la fin de l’automne, la petite ville de Chester Mill, dans le Maine, est inexplicablement et brutalement isolée du reste du monde par un champ de force invisible. Personne ne comprend ce qu’est ce dôme transparent, d’oú il vient et quand – ou si – il partira. L’armée semble impuissante à  ouvrir un passage tandis que les ressources à  l’intérieur de Chester Mill se raréfient. Big Jim Rennie, un politicien pourri jusqu’à  l’os, voit tout de suite le bénéfice qu’il peut tirer de la situation, lui qui a toujours rêvé de mettre la ville sous sa coupe. Un nouvel ordre social régi par la terreur s’installe et la résistance s’organise autour de Dale Barbara, vétéran de l’Irak et chef cuistot fraîchement débarqué en ville...

 

Ma note @@@

 

Mon avis


Dôme est un livre en gestation depuis 1976 qui ne parait qu'en 2009. Les très (trop?) nombreux personnages, l'histoire de toute une population coupée du monde sans en connaître la raison m'ont rappelé un autre tritre de l'auteur ; Les Régulateurs, publié en 1996 sous le pseudonyme de Richard Bachman. Le thème est un grand classique, celui du huis clos, à la seule différence que la "pièce" est une petite ville américaine et ses habitants.

Les personnages sont très nombreux et entre les noms et les surnoms on s'y perd un peu. Quant à l'histoire... Stephen King s'est imposé depuis des années comme un maître du thriller et du fantastique quand, à mon humble avis, Richard Bachman donnait plus dans le roman de gare. Bien que Richard Bachman soit officiellement "mort" on retrouve bien son style. Des tonnes de descriptions minutieuses, de détails inutiles comme s'il fallait justifier le prix d'un livre par son poids... Car si le premier tome nous donne envie de lire le second (il y a quand même un peu de suspense), le deuxième volet tourne franchement à l'eau de boudin pour finir de façon grand guignolesque. Le dénouement ne nous arrive que dans les tous derniers moments mais 1200 pages pour en arriver là, j'ai eu du mal à y croire. C'est tellement énorme que ça ressemble à un énorme foutage de gueule.

En ce qui me concerne, ce livre est à la littérature ce que "L'attaque des tomates tueuses" est au cinéma ; une série Z, un nanard mais avec l'humour en moins.

04/08/2012

cri

 

 

 

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